Le ventre, notre deuxième cerveau

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kate
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Re: Le ventre, notre deuxième cerveau

Message par kate »

Dernier message de la page précédente :

ils ne disent rien sur l'alimentation
par contre l'acupuncture du ventre parait qu'elles est efficace
dans le reportage


vignaud mary- claude
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Re: Le ventre, notre deuxième cerveau

Message par vignaud mary- claude »

Bonjour à toutes et tous ,Et oui ! je reviens vers vous .... que du plaisir .
J ' ai regardé ce matin l ' émission , " notre ventre , notre deuxième cerveau ", certes très intéressant , mais je suis resté sur ma faim , car rien sur l ' alimentation , peut être la prochaine fois ...
Par contre je suis à fond pour le " vivre cru "
ça fait une semaine que je ne mange que fruits en tous genres et légumes crus ou vapeur .
Et bien sûr le jus de légumes et fruits confondus crus , j ' ai une centrifugeuse qui me sort ce précieux jus à raison d ' un verre chaque matin .

La recette de vivre cru : pour éliminer
-Oranges grossièrement épluchés
-Epinards frais
Gingembre frais , petit bout , 2 à 3 cm
-Piment frais rouge " petit bout 3 à 4 cm
-Persil frais
-Curcuma , " pas trouvé frais , alors je le mets en poudre "pour le moment
Voilà le tour est joué
Depuis je ne rencontre plus du tout de constipation
J ' ai arrêté le pain de boulangerie , avec les bons conseil de ma fille " Mélilu " je vais le faire moi même même si ça ne me prive pas vraiment ..
Je ne mange pratiquement plus de viande .
Légumes , fruits , Pâtes , riz ,Quinoa , légumes secs , noix , noisettes etc ...
Je me sens réellement très bien , pas de fringale aucune , et dans le coup , je perds du poid doucement , perdu 3kg en dix jours .
L ' appart + vivre cru , je suis armée pour vivre bien et mieux et en suivant vos bons conseils
De grosses bises à toutes et tous .

Il faut me dire si je fais des erreurs !!! Merci


vignaud mary- claude
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Re: Le ventre, notre deuxième cerveau

Message par vignaud mary- claude »

J ' ai oublié le citron , ne pas l ' éplucher , le laver tout simplement
Au plaisir de vous lire


Profil Supprimé

Re: Le ventre, notre deuxième cerveau

Message par Profil Supprimé »

melilu a écrit :Merci pour l'info, ça a l'air très interessant,
Bonjour Melilu :ange:
Comment se porte petit Swan? Il a complètement récupéré?
Bisous
:fleur1:


anonyme12
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Re: Le ventre, notre deuxième cerveau

Message par anonyme12 »

vignaud mary- claude a écrit : Il faut me dire si je fais des erreurs !!! Merci
c'est bien mais il faut ajouter des œufs ou de la volaille ou du poisson 2 à 3 fois par semaine.
Surveillez l’apport de vit D et de zinc.

http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum ... ml#p234829" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum ... ml#p245156" onclick="window.open(this.href);return false;


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Noezic
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Re: Le ventre, notre deuxième cerveau

Message par Noezic »

:super: Une cousine venait de m'envoyer le lien et je comptais partager car j'ai aussi trouvé ça vraiment bien fait pour expliquer l'intérêt de surveiller son alimentation et ses nombreuses répercussions sur la santé...sur l'humeur et le rôle des bonnes bactéries...pour les mêmes raisons!
Et avec le régime Seignalet et l'EFT ... je pense qu'on a la bonne clef pour améliorer notre santé sans trop morfler avec des effets secondaires indésirables...d'ailleurs je vais dois laisser un petit commentaire sur mon traitement...de la SEP...


SEP oct 2012 Seignalet strict sept 2013...et YOUPI plus aucune poussée... .... Merci Seignalet Merci l'Appart et MERCI à Mon Naturopathe
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kate
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Re: Le ventre, notre deuxième cerveau

Message par kate »

Il parle du même sujet
sur le site vivre cru
avec Casanova

par Thierry Casasnovas du site vivrecru.org

Introduction
Les intestins sont l’axe central.

C’est dans les intestins que commencent la plupart des déséquilibres dysharmoniques qui ensuite vont se répéter de couches en couches dans l’organisme jusqu’ à arriver au niveau de la cellule. Parce que les intestins réalisent notre séparation entre le milieu extérieur et le milieu intérieur, c’est la clé qu’il faut garder.

Donc tout ce qui se passe à l’intérieur passe dans les intestins, dans une moindre mesure par la peau et la respiration mais le plus gros facteur de passage entre l’intérieur et l’extérieur, ce sont les intestins.

S’il y a des choses à l’intérieur qui ne devraient pas y être, c’est parce que c’est passé au travers de cette paroi, de cette barrière symbolique. Et donc je me suis souvent référé aux intestins parlant de second cerveau. 1’24’’.

C’est le sujet d’aujourd’hui.

Je vais essayer de vous montrer comment nombre de maladies dites psychiques sont en fait des maladies digestives. Quand je parle des intestins, c’est l’estomac – intestin – colon, c’est tout le système intestinal.

Si on parle de second cerveau, il est nécessaire de parler du système nerveux. Il y a des grands systèmes dans le corps vus dans les cours de niveau 1, hygiénisme : le système digestif, le système endocrinien, le système nerveux, le système lymphatique, le système sanguin, le système respiratoire, le système urinaire. On peut faire après des sous-catégories et le système nerveux est un système essentiel. Pour moi le système nerveux n’est pas le premier système du corps. Pour moi le premier est le système endocrinien avec le système digestif. Le système nerveux ne vient qu’ensuite parce qu’on se rend compte que des individus peuvent fonctionner sans système nerveux, avec qu’un système endocrinien, alors que l’inverse n’est pas possible. Mais le système nerveux est ce qui va conduire l’impulsion électrique, qui va permettre de communiquer d’un organe à un autre sous forme d’impulsion électrique extrêmement rapide. 2’51’’.

Il y a deux systèmes qui permettent la communication entre un organe émetteur et un organe cible, c’est le système endocrinien et le système nerveux. Le système nerveux est globalement beaucoup plus rapide parce qu’il s’agit d’une communication électrique qui passe. 3’05’’.



Physiologie
Très longtemps, on a pensé que le modèle global du système nerveux était le suivant : c’est à dire un organe : la peau, un muscle : le cœur, envoie, reçoit une information. En tout cas : vit quelque chose. A ce moment là, il envoie un signal nerveux jusqu’au cerveau. Le cerveau le traite, fait descendre ce signal nerveux le long de la moelle épinière pour ensuite être redistribué par le système nerveux qu’on va appeler système nerveux périphérique – on va entrer dans tous ces détails – jusqu’aux autres organes du corps pour qu’il y ait action.

Donc finalement, tout phénomène dans le système nerveux passait obligatoirement par la boite crânienne. C’est satisfaisant parce qu’on est très fier de notre cerveau. On est très fier de nos processus mentaux. On est très fier des « cogitium » de notre boite à poux. Et en plus c’est placé en haut ! c’est le chef, c’est le cap ! c’est très satisfaisant comme modèle. 4’26’’.

Le modèle que je vais vous présenter est le fruit de travail d’un pionnier qui s’appelle Michael Gherson, qui a fait un travail formidable, contre vents et marées, contre les moqueries de ses collègues pendant des années. Michael Gherson a montré finalement que tout ne passe pas par le cerveau. Et ce fonctionnement nerveux passe par les intestins.

Vous avez déjà entendu système nerveux autonome, volontaire, parasympathique, sympathique, le système nerveux central, le système nerveux périphérique. Alors comment s’y retrouver dans tout ça ?

Il y a différentes dénominations correspondant à différents regards, comme s’i il y avait différentes personnes qui regardent une même personne et qui la décrivent avec certains critères. L’un va avoir le regard du peintre, l’autre va avoir le regard du physiologiste, l’autre va avoir le ragard du physiologiste, l’autre va avoir le regard du sportif et ils vont décrire la personne en la qualifiant, d’une manière ou d’une autre. Le système nerveux c’est un peu pareil.

On peut le qualifier de autonome ou volontaire. Le système nerveux volontaire c’est celui qui nous fait faire des gestes. C’est à dire il y a une décision qui est prise et à ce moment là il y a un geste qui est fait. C’est quelque chose qui tient du volontaire. Alors qu’il y a le système nerveux involontaire, c’est celui qui régule tout le fonctionnement de nos organes, de nos glandes, les circulations de fluide dans le corps et j’en passe.

Le système nerveux volontaire il est relativement simple dan son fonctionnement. Une information part globalement du cerveau (dans l’état actuel des connaissances) et elle est conduite via une fibre nerveuse jusqu’au muscle effecteur, le muscle qui va permettre le mouvement. Et l’information a peu de chances d’être transformée, parce que la jonction est directe. Donc soit la jonction a été coupée par un accident, par un traumatisme, et à ce moment-là, l’action n’a pas lieu. Mais il n’y a pas de modulation là-dedans. 6’55’’.

De l’autre coté il y a le système nerveux autonome qui a une différence avec le système nerveux volontaire c’est que l’information ne va pas directement de l’encéphale, du centre de l’information vers l’organe cible, vers la glande cible, vers la zone lymphatique, mais ça passe par des ganglions nerveux. Ce ne sont pas des ganglions lymphatiques, ce sont des ganglions nerveux. Ce sont des amas de neurones. C’est la cellule nerveuse au sens propre du terme. Et donc, au niveau de ces ganglions nerveux il y a transmission de neurones en neurones de l’information. Cette transmission se fait au niveau de la synapse et à ce niveau-là, il peut y avoir transmission partielle, transmission totale, aucune transmission. Et vous comprenez donc qu’il va y avoir une modulation. On peut avoir dans le système nerveux autonome des sur-amplifications, des sous-amplifications, des disparitions, des modulations diverses, choses qu’on ne va pas avoir dans le système nerveux volontaire qui fonctionne de manière linéaire : zéro ou un.

Dans le système nerveux autonome ça va être totalement différent. Et au niveau du transport de l’information, de neurones en neurones, il y a des produits essentiels qu’on appelle des neurotransmetteurs. 8’29.

Les neurotransmetteurs
Globalement un neurone, qu’est ce que c’est ? C’est une cellule dont va partir une espèce de gigantesque trompe qu’on appelle un axone et cet axone va se terminer par une synapse qui arrive pour toucher la cellule nerveuse suivante. Et c’est comme ça qu’elles vont se transmettre l’information. Sauf que la synapse ne touche pas exactement la cellule suivante. Entre les deux il y un tout petit espace et pour combler cet espace, pour passer de la synapse d’une première cellule au corps cellulaire de la seconde cellule nerveuse, il va y avoir les neurotransmetteurs. Les neurones sont aussi équipés de tous petits bras, qu’on appelle les dendrites. Mais c’est beaucoup plus court que l’axone.

Pour comprendre les différences, on va être un peu jargonnant, je suis désolé mais c’est un peu nécessaire. Pour comprendre les différences entre les différents systèmes nerveux il faut connaître la différence qu’il y a entre les dendrites et les axones. Les axones sont gainés avec un produit qu’on appelle la myéline. Toutes les personnes qui ont la maladie de Parkinson ont entendu parle de la destruction de la gaine de myéline. La myéline est une substance, plutôt grasse, protectrice – tout ce qui est gras dans le corps protège : le cholestérol, la lymphe, ça protège – c’est une substance grasse, épaisse qui protège la gaine et qui permet le transfert d’information très rapidement. Alors qu’au niveau des dendrites la communication est beaucoup plus lente parce qu’il n’y a pas de myéline. Donc il y a une différence fondamentale entre les neurones et les dendrites. Les dendrites sont plus courtes et ne conduisent pas l’information aussi rapidement. Ceci dit, qu’elle est la différence entre votre système nerveux volontaire et votre système nerveux autonome ? 10’39.

Quelle est la différence entre système nerveux central et système nerveux périphérique ? là c’est une question de localisation. Le système nerveux central c’est cerveau – cervelet (centre de l’équilibre) – moelle épinière ; tout ce qui descend du dos. Le système nerveux périphérique c’est tout ce qui va partir de la moelle épinière et qui va ensuite se répandre. Voyez la moelle épinière comme l’arrête centrale d’un poisson et le système nerveux périphérique comme les petites ramifications qui vont aller toucher tous les organes et toutes les glandes. On est ans le système nerveux autonome. 11’15.

Système nerveux centra – système nerveux périphérique

Dans ce système nerveux autonome, on définit le système nerveux sympathique et le système nerveux parasympathique. Pour arriver à comprendre les différences entre les deux disons que le système nerveux parasympathique, le ganglion nerveux est situé juste à coté de l’organe. C’est à dire que l’information par du cerveau, transite le long d’un axone, donc de la myéline, le long de la moelle épinière, ensuite elle part de la moelle épinière vers l’organe. Et ce n’est qu’au niveau de l’organe, quasiment à sa proximité que vont se situer les ganglions et c’est par les dendrites que sera transmise l’information.

Finalement, il y a très peu de perte d’information et la vitesse est maximale pour la communication au niveau de ce système. Pourquoi ? parce que l’information est véhiculée tout le temps par un axone muni de myéline. C’est à dire qu’avec ce gainage, l’information électrique circule beaucoup plus rapidement. Donc le système nerveux parasympathique va transporter l’information beaucoup plus rapidement. Le système nerveux sympathique, au contraire va transporter l’information un peu plus lentement. Pourquoi ? parce qu’il n’est pas muni. Le ganglion se situe au niveau de la moelle épinière. Et donc il va y avoir ensuite un long parcours qui n’est pas muni d gaine de myéline et qui va venir toucher l’organe récepteur. Voilà la différence qu’il y a entre le système nerveux sympathique et parasympathique. C’est une différence de vitesse de transmission liée ( 13’19) à la constitution.

Ça c’était avant. On était bien peinard. On avait notre système nerveux volontaire, l’autonome, on avait le système nerveux central, le système nerveux périphérique, tout partait du cerveau. On avait le le sympathique, le parasympathique. Et c’était tout.

On savait bien qu’il y avait des terminaisons nerveuses mais ce qu’on savait c’est le cerveau commande aux intestins, donc il y a des ramifications nerveuses mais c’est rien de spécifiques.

Et ce fameux Michael Gherson a commencé à faire des travaux. Il n’a pas été le seul, un Italie, un australien aussi qui ont fait ces travaux dans les années soixante, soixante dix.

Et ils se sont rendus compte que les choses n’étaient pas aussi simple et qu »’on pouvait parler littéralement d’un autre système nerveux qu’on a appelé le système nerveux entérique. 14’30

Le système nerveux entérique
En quoi peut on dire que c’est un système nerveux à part entière ? il y a plusieurs critères. Pour eux le système nerveux entérique c’était le système nerveux qui était pris dans la paroi, qui prenait son essence dans tout le système intestinal, dans la paroi intestinale et qui ensuite se ramifiait. Alors ce système nerveux, il avait plusieurs caractéristiques. Non seulement il contrôlait le fonctionnement des intestins mais aussi il allait contrôler directement certains organes sans passer par le cerveau.

C’est pour ça que c’est un système nerveux à part entière, c’est parce que ce système nerveux là ne passe pas par le cerveau. C’est à dire que le schéma classique dans lequel un émetteur envoie une information qui est traitée par le cerveau, qui descend ensuite le long de la moelle épinière, et qui est ensuite dispatché jusqu’aux organes récepteurs, ce schéma là était pris en défaut ! pris en défaut , parce qu’il y avait directement une communication sans passer par l’encéphale, sans passer par la boite crânienne, entre les intestins et les organes cibles, les glandes cibles. Pire encore il y avait une communication directe, non pas du cerveau vers les intestins – en tout cas elle a lieu mais elle était minime – mais plutôt des intestins vers le cerveau. Vous vous rendez compte du pavé que ça représente ? ça voudrait dire que les intestins gouvernent le fonctionnement du cerveau. On va le voir en détail tout à l’heure. 16’02.

Le second cerveau
Donc on a défini ce système nerveux entérique qui a donc une caractéristique de système nerveux : il est autonome par rapport aux autres système nerveux. Il ne passe pas par la boite crânienne, donc c’est un système nerveux à part entière.

Autre critère pour savoir si c’était un système nerveux spécifique, c’est – je vous ai parlé au niveau de cette transmission d’information électrique entre les neurones au niveau des synapses, je vous ai parlé de neurotransmetteurs. Et chaque système nerveux utilise un neurotransmetteur différent. Nous avons le système parasympathique qui lui est gouverné par un nerotransmeteur qu’on appelle l’acétylcholine qui est produit au niveau des ganglions nerveux directement. On a le système sympathique qui utilise un petit peu l’acétylcholine, dans une moindre mesure, mais qui est surtout gouverné par une hormone qu’on appelle la noradrénaline et l’adrénaline qui sont toutes les deux produites dans la partie médullaire, la partie interne des glandes surrénales. Et c’est pour ça que vous m’avez déjà entendu dire souvent à quel point le système nerveux sympathique était gouverné par les glandes surrénales. 17’17’’.

Alors pour savoir si le système nerveux entérique était un système nerveux à part entière il y a un petit critère, on s’est dit est ce que lui utiliserait un autre neurotransmetteur ? oui ! il utilise un autre neurotransmetteur dont vous avez souvent entendu parler, on l’appelle la sérotonine. Mais vous allez me dire, la sérotonine c’est le neurotransmetteur du bonheur, c’est au niveau du cerveau ! Non. Plus de 80% de la sérotonine produite dans le corps est produite par les intestins. Plus de 70% des neurotransmetteurs produits dans le corps sont produits dans les intestins et non au niveau du cerveau. 18’01’’.

Dès lors on pouvait vraiment parler de second cerveau.

Voyons maintenant comment ce second cerveau influence les autres organes. Il les influence de deux manières. Directement par des communications – alors je vous ai dit si vous regardez les vidéos sur les intestins « ce continent inconnu », je vous ai dit que la plupart des organes se développaient à partir d’un tronc primal dans le corps et que ce tronc primal était constitué des tissus de l’intestin. Et donc il reste un lien nerveux direct entre différentes zones des intestins, intestins pris au sens large – il reste un lien direct ce qu’on appelle un arc réflexe nerveux – il reste un lien nerveux direct entre différentes zones des intestins et différentes glandes et organes. C’est à dire que les intestins ont la capacité de réguler directement le fonctionnement de nombreuses glandes et de nos organes. 18’58.

Et vous comprendrez bien que tout dysfonctionnement au niveau intestinal peut amener une modification de l’information nerveuse envoyée à partir des tissus de l’estomac et donc impacter directement le fonctionnement de nos glandes et organes. 19’14.

L’humeur régulée par les intestins
Autre chose encore plus « grave ». Pour comprendre la régulation de l’humeur par les intestins – chose sur laquelle je reviens de plus en plus – il y a un nerf qui réalise la communication entre l’encéphale et les intestins qu’on appelle le nerf vague. Dans le modèle classique la communication était de la boite à poux vers la boite à digérer. Uniquement dans ce sens-là. Primauté de l’encéphale et du cerveau sur toutes les fonctions du corps. C’est la tête qui est le chef et donc tout se passait bien dans le meilleur des mondes, sauf que manque de bol cette communication-là est utilisée à 10% du cerveau vers les intestins et elle est utilisée à 90% des intestins vers le cerveau. Ça montre à quel point l’état de nos intestins gouverne directement le fonctionnement de notre cerveau. Et comment une toxicité intestinale va amener une modification dans l’arc réflexe qui va passer par le nerf vagal et venir directement contrôler notre cerveau. Est ce qu’on a besoin d’en savoir plus pour comprendre que la plupart des maladies psychiques sont en fait des maladies digestives. En tout cas que – comment faire maintenant un schéma clair de la vision qui vient à moi de plus en plus. Il y a des émotions, il y a des circonstances de vie, ces circonstances de vie nous frappent, nous impressionnent au sens propre du terme. Elles s’impriment en nous mais ensuite il y a la manière dont elles vo t être utilisées par l’encéphale, par le système nerveux. Toutes ces structurations, ces utilisations vont être guidées par le fonctionnement de notre système nerveux en très très grande partie. Et le fonctionnement de notre système nerveux, le fonctionnement de notre encéphale est majoritairement conditionné – je crois qu’on ne mesure pas encore assez – par nos intestins. Nous ne sommes pas des « homo-encéphales », on est des « homo-intestinus » ! c’est à dire que nous sommes gouvernés par nos intestins, nous sommes complètement déterminé par nos fonctionnements psychiques par nos intestins. Je vais en remettre une couche, notre comportement rend notre personnalité, notre humeur notre joie dépend de l’état de nos intestins. La sérotonine est produite dans les intestins, l’acétylcholine est produite directement dans la fibre, nerveuse, la noradrénaline (qui contrôle le système nerveux parasympathique) est produite dans les glandes surrénales. Les intestins restent le grand organe effecteur de tout le système. Je pense qu’on ne mesure pas encore l’influence sur les glandes et organes que peuvent avoir les intestins. 22’21’’.

Donc les systèmes nerveux sympathique et parasympathique régulent une bonne partie du fonctionnement du corps. La différence entre les deux c’est que le système nerveux sympathique lui, va réguler le fonctionnement immédiat, la réponse lutte ou fuite. Alors que le parasympathique, ça va être plutôt le système relaxant, ça va être le système relaxant, ça va être le système qui va nous mettre en repos total. 22’53.

Pour faire simple le système sympathique c’est le système lutte ou fuite. Le système parasympathique c’est le système calme. Vous comprenez donc pourquoi le système sympathique qui dilate les pupilles, par exemple, qui empêche la production de salive, qui dilate les bronches, qui accélère le rythme cardiaque, qui empêche les sécrétions stomacales et les processus digestifs et qui a une action directe sur un blocage du système nerveux entérique et donc là une rétroaction qui empêche le fait d’uriner. Ce système nerveux sympathique qui est gouverné par l’adrénaline et la noradrénaline, quand il est mis en action et quand il est surexploité, ce sont les glandes surrénales qui sont surexploitées.

Aparté : le système nerveux parasympathique s’oppose réellement dans son action au système nerveux sympathique. Donc première phase : un individu est en sur-stimulation, en sur-stress, qu’est ce qui est utilisé ? c’est le système nerveux sympathique, c’est à dire que son cœur accélère, ses pupilles sont dilatées. Ça c’est un système nerveux extrêmement sollicité. Mais ce système nerveux extrêmement sollicité ça veut dire glandes surrénales extrêmement sollicitées, elles vont produire à qui mieux mieux de l’adrénaline et de la noradrénaline mais qui vont empêcher aussi les digestions, les assimilations. Donc c’est un individu qui va s’épuiser qui va se bouffer de l’intérieur, littéralement. Il y a un moment où il n’y a plus rien dans les glandes surrénales. A ce moment là le système nerveux sympathique s’effondre complètement. L’individu n’a plus de peps, n’a plus de jus. Donc effondrement du système nerveux sympathique, l’individu est HS et qu’est ce qui prend le dessus : le système nerveux parasympathique. Le système nerveux parasympathique c’est le système qui calme donc à l’inverse du système nerveux sympathique qui dilatait les pupilles, le système nerveux parasympathique contracte les pupilles. Il permet la production de salive. Il calme le cœur, les battements cardiaques. Il stimule la production d’enzymes digestives par l’estomac et tous les processus de digestion et d’assimilation. Donc le système nerveux parasympathique s’oppose littéralement au système nerveux sympathique. Et c’est ce qui explique que chez les individus qui sont en stress permanent c’est le système nerveux sympathique qui est à l’œuvre, jusqu’à ce qu’il s’effondre. Et qu’est ce qui reste ? il reste le parasympathique. Le jeu entre les deux est normal mais si le jeu entre les deux se fait pare qu’il y en a un qui s’est effondré et que l’autre prend le dessus, alors c’est complètement anormal. 26’28’’.

Maintenant qu’est ce qu’on sait de notre système ? on a le système nerveux sympathique, celui qui réagit comme ça, le parasympathique et on le système nerveux entérique. Ce qu’il faut savoir, c’est le système nerveux entérique, il faut bien comprendre que dans les intestins, il y a la lumière des intestins, par là où passent les aliments avec les villosités intestinales. Ces petites excroissances tubulaires qui augmentent la surface des intestins et permettent une meilleure assimilation. Ensuite il y a la paroi intestinale en tant que telle. Dans cette paroi il va y avoir des ganglions nerveux, dans les couches mientériques. Ces ganglions nerveux vont directement réagir et envoyer une information. Et comme je vous l’ai dit le nerf vague, le nerf qui relit la partie cervicale, la partie cérébrale à l’intestin, est surtout utilisé dans le sens intestin vers cerveau et non pas cerveau vers intestin. Et c’est pour ça qu’on peut dire littéralement que ce ne sont pas nos émotions qui créent des sensations dans notre estomac, ce sont les sensations dans nos intestins qui créent l’émotion, qui créent l’état psychique. C’est vraiment dans ce sens là qu’il faut le voir. Du bas vers le haut. Nos intestins sont notre organe émotionnel par excellence. D’ailleurs quand on dit « avoir l’estomac noué », « la peur au ventre », le peur oui ! la peur nait dans le ventre et ensuite se répand dans l’ensemble du corps. Pourquoi ? parce que la majorité de la sérotonine, plus de 80% est produite dans le corps est produite dans les intestins. Mais il y a la dopamine aussi qui est énormément utilisée dans le système nerveux, l’acétylcholine aussi est produite dans les intestins. Et tout ça remonte et est ensuite utilisé par le corps. 29’15’’.

D’ailleurs l’influence de la toxicité intestinale dans le fonctionnement psychique, on le voit beaucoup en iridologie pour ceux qui vont venir au niveau 2 qui est l’iridologie. On verra des petites traves qu’on appelle des radisolaris, symptomatiques, qui partent vraiment de la couronne des intestins et qui vont toucher un organe en particulier. Là on peut dire qu’il y a une toxicité intestinale. Pourquoi on parle de toxicité intestinale ? 29’55.

Vous l’avez vu dans les vidéo sur les intestins, les intestins sont peuplés avec ce qu’on appelle le macrobiote, le biote intestinal, un ensemble de bactéries. Et ces bactéries réalisent littéralement l’assimilation, l’absorption et la transformation des nutriments. Or les cellules des ganglions nerveux du système nerveux entérique, donc du système nerveux propre aux intestins, ils se situent juste à la périphérie. Donc de la qualité de transformation de ces produits, de ce biote, de l’action même de ce biote, va dépendre les produits qui vont traverser la paroi intestinale et qui vont venir exciter les ganglions nerveux, littéralement. C’est à dire que si vous avez des protéines mal digérées ou anormalement transformées et qui ont muté entre elles, qui se sont associées eh bien ces produits anormaux vont venir directement excite les cellules nerveuses, vont directement venir les harceler d’une certaine manière et vont envoyer un signal, un arc réflexe absolument anormal. Donc il faut vraiment bien comprendre que dans notre corps, nous avons un système nerveux qui est autonome, qui ne passe pas par le cerveau, qui, mieux que ça, contrôle principalement énormément les fonctions cérébrales, qui contrôlent aussi directement nos glandes et nos organes. Ce système nerveux on l’appelle système nerveux entérique. C’est le système nerveux qui se trouve dans nos intestins. 31’21’’. Voilà l’information qui, pour moi est capitale, à retenir.

Quand on me parle de problèmes psychiques je demande toujours à la personne : ça va comment les intestins ? tu digères comment ? on me dit : Ouais, ça va couçi couça, de temps en temps de petites flatulences, des petites douleurs à l’estomac…. Là il n’y a pas à chercher.

Si je suis intime avec des personnes quand elles ont des flatulences, j’essaie de les interpeller. On me dit non, c’est rien. Je réponds ça ne me gène pas c’est qu’est ce que ça veut dire pour toi ? c’est une fermentation, une putréfaction qui est à l’œuvre. Et cette fermentation, va avoir une action directe sur le système nerveux entérique qui va avoir une action directe sur tous les organes, des glandes, ton cerveau, le fonctionnement psychique. Et moi c’est ça qui m’embête. La fermentation en elle-même n’est pas gênante si elle n’avait pas de conséquence. Mais elle a des conséquences, des conséquences extrêmement lourdes. Et donc la plupart des défauts psychiques qu’on va trouver chez les individus viennent de dysfonctionnement au niveau des intestins. Donc la priorité des priorités, c’est le nettoyage des intestins. C’est la remise en place de ces intestins. Une fois qu’un individu a des intestins qui sont à peu près en bon état, une fois qu’il a remonté son système endocrinien, c’est gagné !

Remonter son système endocrinien, la plupart du temps, c’est remonter ses glandes surrénales, sa thyroïde peut être un petit peu mais qui va suivre rapidement. Remonter ses glandes surrénales, remettre en état surtout sa muqueuse intestinale. 34’05.

Pour remonter sa muqueuse intestinale il y a des outils majeurs. La première des choses à faire, c’est de revenir à un régime physiologique de l’espèce humaine. Nous sommes des frugivores. N’en déplaise à tous les tenants des spaghettis à la carbonara. Le régime spécifique humain est frugivore. On peut s’adapter, on peut survivre, mais dans quel état ? en développant quel type de pathologie ? en développant quel type de violence ? Vous vous êtes déjà demandé si l’évolution actuelle de ce monde, les guerres, la violence à l’écran, est ce que c’est normal ? On nous a créé une histoire, une préhistoire aussi qui est très satisfaisante pour notre ego parce qu’elle montre que finalement l’évolution naturelle, spontanée et idéale de l’humain c’est la civilisation telle qu’on la connaît. Je me souviens d’un film absolument stupéfiant, qui à l’époque faisait référence, La guerre du feu, dans lequel on montrait nos ancêtres comme des brutes épaisses en train de s’assommer à coup de massue. Il semblerait de plus en plus que tout ça soit absolument faux, une vision extrêmement orientée des choses, qui est idéologiquement orientée de manière à montrer que l’homme a évolué d’un état pré-animal à un état d’accomplissement dans lequel il a sa tablette en 3G+ qui lui permet d’être connecté à tous les bouts de la planète qui fait qu’il a un système nerveux complètement explosé, que ses pupille sont complètement dilatées, mais que tout va bien. Eh bien non ça n’est pas l’évolution naturelle de l’homme. Il semblerait même que les sociétés qui étaient avant l’invention de l’agriculture, avant la révolution agraire étaient des civilisations qui étaient premièrement pacifiques qui avaient de petites luttes de territoires, mais il n’y avait pas l’esprit belliqueux tel qu’on l’a actuellement. C’était des civilisations d’abondance, chose que nous n’exprimons pas actuellement, puisque la valeur que nous avons créé est la rareté. Et ça prouve vraiment la perversion de l’esprit humain. Et cette perversion de l’esprit humain vient de la perversion des intestins. C’est parce que nous avons mis n’importe quoi dans nos intestins, c’est parce que nous avons voulu jouer aux apprentis sorciers. Parce que nous avons voulu dire : moi je mange ce que je veux. Quand on met pas le bon carburant dans un corps il dysfonctionne. Notre monde actuel, privé d’arbres, privé de vie, souffrant, violent, basé sur une valeur qu’on appelle la rareté, qui est juste une aberration parce que la valeur réelle de ce monde, c’est l’abondance (énergie, ressources) et nous vivons dans la rareté. Nous vivons dans une précarité et une rareté qui est aussi le fruit de notre psychisme qui est complètement dévié par un régime alimentaire et un fonctionnement viscéral, au sens propre, biaisé par des choix erronés. 37’41.

Les solutions
La solution c’est de revenir au régime frugivore : fruits, noix, plantes vertes, légumes qui suffisent.

Et vous savez combien je suis un partisan des jus. Pourquoi ? Parce que les jus, pour des intestins en irritation, le jus est le moyen numéro 1 pour rétablir la santé intestinale. Je cois que les jus sont une panacée – avec l’aloe vera.

Quand on a les intestins enflammés on ne tolère plus les aliments qui sont physiologiquement faits pour nous. C’est à dire les légumes les fruits vont être trop irritants, trop forts, parce qu’on est tellement habitués à une nourriture décomposée, privée de vie, que c’est trop fort. Le jus est une alimentation qui ne va pas nous irriter les intestins, il va venir guérir directement la muqueuse intestinale, qui va commencer à apporter de la nutrition dans le corps. Et les jus sont la voie royale. La chlorophylle est l’élément cicatrisant de la muqueuse intestinale par excellence. Donc les jus sont une panacée : jus de légumes, jus de fruits dans une moindre mesure mais les jus de légumes : jus de carottes, jus d’épinard, jus de toutes les verdures ; jus de betteraves, jus de pommes (extraordinaire pour la muqueuse intestinale). Tout ça va contribuer à commencer à guérir la muqueuse intestinale. 39’28’’.

Ensuite, nettoyer et cicatriser. Pour nettoyer j’utilise le Balai Intestinal dont on ne meusre par l’effet que ça peut avoir sur l’organisme. Ce mélange de plantes qui est produit par ABC Nature et qui permet littéralement de drainer les toxines depuis l’intérieur de la paroi intestinale qui contient ces ganglions du système nerveux entérique qui sont complètement pollués, qui sont perturbés dans leur fonctionnement par les toxines qui sont accumulées. On va venir littéralement les sucer et les remettre dans la lumière intestinale pour qu’ils soient évacués. Et comme le Balai Intestinal contient à la fois des éléments astringents et des éléments qui vont favoriser l’élimination intestinale, qui va faciliter le passage à la selle.

A la fois on tire, on suce : astringent et on évacue. Les jus, le balai intestinal et l’Aloe vera, c’est vraiment efficace. L’Aloe vera : cicatrisant de première. Les jus d’Aloe vera pour la muqueuse intestinale c’est une panacée.

Ces trois éléments : des fruits, régimes spécifiques de l’espèce, des jus des jus, des jus, balai intestinal qui va être extraordinaire pour la muqueuse intestinale et Aloe vera. Là vous avez vraiment tout de suite un cadre idéal pour expérimenter, pour rétablir l’état de la muqueuse intestinale. Alors bien sur, quand on a des candidoses installées, quand on a un biotope qui est complètement déséquilibré, ça peut prendre du temps. Les lavements, les irrigations coloniques vont aider aussi bien. C’est très efficace. Il faut faire attention pour les individus qui sont fatigués de ne pas sur-stimuler le système. Pour des gens épuisés, les lavements et irrigations coloniques : pas trop souvent. Mais ça permet une vidange rapide. Si le Balai Intestinal fait son travail mais que le péristaltisme il est moyen parce que le système nerveux entérique est fatigué, parce que les glandes surrénales sont fatiguées, le lavement va permettre de vraiment bien nettoyer tout ça. A faire régulièrement en fonction de l’énergie de la personne. 41’47’’.

Avec ça on va commencer à désintoxiquer la paroi intestinale. C’est à dire qu’on va commencer à faire que cette toxémie intra-membranaire, à l’endroit même où se trouve tous ces ganglions nerveux, elle a diminué. Dès lors les informations qui vont être envoyées par notre système nerveux entérique vont commencer à être un petit peu moins perturbées par toutes ces petites agressions, ces petites aiguilles qui viennent le piquer en permanence. C’est à partir de ce moment-là qu’on va avoir une modification dans l’humeur des individus. Une réelle modification dans l’était d’esprit des individus. Alors c’est un chemin qui est long. Une fois qu’on a commencé, on l’a pris, on le tient. Ça ne veut pas dire que souvent un bon lavement, ça permet de calmer le jeu. Mais c’est un chemin. Et c’est le seul.

Ce que je veux partager avec vous, ça n’est pas du désespoir, c’est le seul chemin qui vise vraiment à une guérison. Le reste ça vise à une suppression du symptôme, ça vise à une adaptation, ça vise à « on fait aller », « on vit avec », « ça va pas trop mal », c’est « ça va fabuleusement bien », « je suis chargé d’énergie, chargé de vie, chargé d’envie d’œuvrer et d’être présent dans ce monde. C’est ça qui est important. C’est ça la nature propre d’un individu. Et ça, ça demeure dans le ventre. Ça démarre dans les viscères. Donc la régénération se passe là et dans le système endocrinien. 43’21’’.

Aujourd’hui on a parlé des viscères et du système endocrinien, on a parlé de tout le système nerveux. J’espère que ça vous aura vraiment été utile parce qu’il y a une clef. La régénération intestinale prend du temps. L’hygiène intestinale prend du temps. J’expérimente des protocoles différents. Je vous tiendrai au courant au fur et à mesure. Pour les candidoses il y a un produit que j’utilise c’est le mélange Parasites. Il peut être utilisé de manière conjointe au Balai intestinal pour la meilleure es réponses. C’est du travail à long terme mais c’est le seul chemin. Mais il est joyeux ce chemin parce que on sait où on va. J’espère que cela vous aura été utile. C’est comme ça qu’on comprend que la dégénérescence psychique actuelle est liée à la dégénérescence de notre alimentation.



Transcription Claudine Toussaint – toussaintconseil@gmail.com

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Re: Le ventre, notre deuxième cerveau + SEP

Message par camille15000 »

Entièrement d'accord avec ce qui a été dit sur ce documentaire. Je l'avais enregistré et je viens juste de le regarder et voici ma "fiche de lecture".

Pour ceux qui ne l'ont pas vu,il est sur Dailymotion (voir en fin de message).

Documentaire "le ventre, notre deuxième cerveau"

Ce doc passionnant décrit comment, petit à petit, la recherche médicale commence à comprendre et à prouver que l'état de l'intestin non seulement influe sur l'état neurologique général, mais aussi peut être à l'origine de certaines maladies neuro-dégénératives (la maladie de Parkinson, l'obésite, le stress, ...). On y entend même que les probiotiques ont un effet direct sur notre cerveau et nos émotions.

Dans le cas de sclérose en plaques (qui me concerne), ce lien a été affirmé il y a bien longtemps par Kousmine, puis par Seignalet qui en a tiré ses préconisations alimentaires. Bien sûr, sans preuve scientifique.

Le fait que la recherche "officielle" (c'est-à-dire répondant aux critères de rigueur de la recherche scientifique) s'intéresse à ces sujets et commence à trouver des résultats allant dans le même sens est vraiment encourageant pour nous, qui suivons ce régime alimentaire par intuition, j'ai envie de dire par foi, c'est un véritable encouragement à continuer.

D'ailleurs, en ce qui concerne la SEP, des recherches se portent actuellement sur l'utilisation de probiotique dans son traitement et sur la vitamine D à haute dose (à Nîmes : http://www.allodocteurs.fr/actualite-sa ... 68.asp?1=1). Une équipe a découvert récemment qu'une bactérie intestinale était souvent présente dans le cerveau des malades, mettant en cause des problèmes de porosité de la paroi intestinale en mauvais état (http://www.futura-sciences.com/magazine ... xtor=RSS-8).
Tout cela encore donne l'impression que les chercheurs redécouvrent, avec bien du retard, ce qu'à dit Seignalet, mais sans y faire référence ...

En conclusion, je vous conseille de regarder ce super documentaire qui nous concerne particulièrement : http://www.dailymotion.com/video/x1arsj ... cerveau_tv il est tellement intéressant qu'il semble trop court !

Bon courage à tous !

Camille :pausecaffé:


Camille

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Re: Le ventre, notre deuxième cerveau

Message par chriseli2 »

Bonjour les colocs,
j'ai enregistré l'émission mais ne l'ai pas encore vu. A visionner rapidement !!! :roul: :roul:
Merci Camille :merci: :merci: pour les liens très intéressants
:bisou: :bisou:


SEP REMITTENTE depuis novembre 2007, quasi végétarienne (aussi sans produits laitiers et dérivés) de 2008 à mai 2011, et maintenant SEIGNALET depuis mai 2011 (arrêt du végétarisme en avril 2011)
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