Contrôler l'inflammation via l'alimentation ?

[anonyme12]

Comment contrôler l'inflammation via l'alimentation
Aperçu de l'article publié sur le blog d'Entre2O
http://les-malades-imaginaires.over-blo ... 37543.html" onclick="window.open(this.href);return false; (Rubrique alimentation et compléments)
Edit 09/204: L'article a disparu du Blog.

Comment contrôler l'inflammation via l'alimentation
Une manière adéquate de contrôler la glycémie (niveau de sucre dans le sang) et d'abaisser la CRP (protéine C-réactive, marqueur de l'inflammation dans le sang) est de remplacer la nourriture raffinée et fortement manufacturée par des aliments entiers ou peu modifiés. Aucun besoin de se concentrer sur des chiffres et des tables d'index glycémique pour y arriver …

Le régime à IG faible influence favorablement le niveau d'inflammation
Comme les études l'établissent clairement, les régimes à index glycémique faible sont associés à moins d'inflammation, des niveaux plus bas de CRP et à une incidence réduite de maladie cardiaque, de diabète et de cancer; il serait donc sage de changer l'équilibre habituel 55 - 15 - 30 (Glucides – Protéines - Lipides) et d'approcher 40 % au niveau des glucides dits lents. Si vous ne voulez pas mesurer vos glucides (800 K/cal sur 2000 K/cal) ou calculer la charge glycémique, pour analyser le ratio protéines /glucides, vous devriez laisser votre diététicien vous conseiller sur la façon de procéder (…).

L'inflammation silencieuse
Il existe une inflammation visible et invisible. Nous sommes habitués à l'équation inflammation = douleur. C'est le cas généralement mais certains processus pathologiques s'attaquent de manière sournoise, car non perceptible, à votre organisme, en bouleversant la division cellulaire, le système immunitaire et les organes clés tels le cœur ou le cerveau.
Les personnes souffrant de cette inflammation silencieuse l'ignorent. Or, cette inflammation est responsable de l'apparition de la plupart des maladies chroniques et / ou dégénératives.
Certains chercheurs et spécialistes en nutrition préconisent de traiter l'inflammation chronique et invisible par un mode de vie basé principalement sur l'alimentation et la consommation quotidienne de 2 suppléments, incontournables, pour éteindre ce feu qu'est l'inflammation silencieuse.

2 marqueurs de l'inflammation silencieuse
- L'excès de poids, particulièrement à la ceinture abdominale, est un paramètre révélant la présence quasi certaine d'une inflammation silencieuse.
Voilà pourquoi certains vont jusqu'à dire que tous les gras en excès dans l'organisme entretiennent et attisent le feu de l'inflammation silencieuse, faisant de l'obésité ou de l'excès de poids une maladie d'inflammation chronique.
- Le stress prolongé ou chronique favoriserait également l'inflammation silencieuse …

Plus des détails sur la réforme alimentaire et les suppléments indispensables sur le lien ci-dessus.
Nestor

Liens intéressants:
http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum ... ml#p263954" onclick="window.open(this.href);return false;
=> Sirop de fructose toxique ?

http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum ... ml#p263070" onclick="window.open(this.href);return false;
=> Glycotoxines dans les aliments

http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum ... ur#p263466" onclick="window.open(this.href);return false;
=> Régime IG minceur (gérer la glycémie)


À suivre: Antioxydants dosage

[coco74]

Ca tombe à pic ! merci beaucoup nestor

[anonyme12]

Antioxydants dosage

*) Préambule
Si nous nous contentons des AJR (Apports Journaliers Recommandés), qui sont plutôt dépassés et conseillés en prévention d'une anémie, nombre de personnes seront déficientes en magnésium ou en zinc, pour ne citer que les 2 cas les plus marqués.
Selon JP Curtay, je cite: "La quasi-totalité de l'agriculture, de l'industrie agro-alimentaire et de la distribution nécessitent une réorientation en fonction des connaissances beaucoup plus étendues et solides dont nous disposons maintenant sur les relations entre l'alimentation, l'environnement, le comportement et la santé."
Avec un décodeur, cela signifie que la science a évolué et revu les recommandations, sans que ces recommandations soient encore appliquées par le médecin traitant en 1ère ligne.
Les techniques de conservation et de production de masse ont changé, en vue de faciliter ou prolonger la durée de conservation, d'améliorer le rendement, parfois au détriment du goût et de la qualité …
Cela signifie que nous devons corriger le déséquilibre des sols appauvris en oligo-éléments et / ou compenser la maturation parfois insuffisante des fruits et légumes. Cela signifie que nous sommes souvent soumis à un stress oxydant excessif, que ce soit au niveau environnemental (toxines et polluants divers), cadre de vie (surcharge de travail, bruit et habitat surchauffé et / ou mal ventilé), activité physique insuffisante (couramment négligée), etc.
Tout cela entraîne un déséquilibre marqué entre les apports et les besoins du corps, surtout en cas de surmenage ou de pathologie. Si en outre, l'individu est abonné à la malbouffe (génération coca), et soumis à un environnement polluant, cette situation entraîne une sur-utilisation des micronutriments …
Lorsqu'il y a insuffisance de micronutriments, la cascade enzymatique est erratique et entraîne dans un 1er temps une surcharge au niveau du métabolisme, puis un encrassage des émonctoires …
Je ne saurais trop insister sur l'importance primordiale de l'activité enzymatique. La vie devient vite pénible lorsque votre stock d'enzymes s'amenuise. Pour les puristes, précisons qu'il s'agit d'un langage imagé (raccourci), même si certains spécialistes ne craignent pas de parler de banque d'enzymes. Lorsque votre compte est régulièrement déficitaire, les ennuis se font plus présents et la vue dans le tunnel s'obscurcit : Il n'y a pas de réelle perspective de rétablissement, de retour vers l'équilibre car l'homéostasie est compromise : Pas de vie sans enzyme!

Infos sur les enzymes:
http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum ... ml#p230705" onclick="window.open(this.href);return false;
Parler d'un point de non retour est quelque peu excessif mais nous devons alors au plus tôt tenter de maitriser / corriger cette surcharge afin de sortir de la zone rouge.

De ce fait, de multiples facteurs, chroniques ou aigus, peuvent se conjuguer, accroître le décalage entre les besoins et les apports réels, et ainsi aggraver les déficits nutritionnels, sans que l'on puisse pour autant parler de déplétion … Pourtant ces besoins sont mal ou pas assez pris en compte. Et avec l'âge ces besoins augmentent. Il peut aussi y avoir des différences notables entre des valeurs moyennes proposées (posologie courante) et les valeurs moyennes souhaitables au cas par cas (pathologie, déficience génétique ou surexposition par exemple), afin d'optimiser l'homéostasie (=> retour à l'équilibre harmonieux).
En ce sens, si vous voulez faire de la médecine préventive, vous comprendrez aussi qu'il faille faire une distinction entre les AJR, les apports préventifs et les apports correctifs liés à une pathologie, comme le déficit d'absorption (leaky gut, notamment).

Si des déficits micronutritionnels se sont installés depuis plusieurs années, des besoins peuvent rester silencieux; des signes peuvent être mal perçus ou mal décodés: baisse d'énergie et des capacités de concentration et / ou de mémorisation, vulnérabilité au stress (humeur changeante), infections à répétition … Dans ces cas il faudra appliquer une correction via une supplémentation car une alimentation même mieux équilibrée, couplée à une hygiène de vie, sera insuffisante (dosage global inadéquat).

Suite sur le post ci-dessous:
http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum ... ml#p264055" onclick="window.open(this.href);return false;
Vous pouvez sauter le préambule et aller directement au paragraphe intitulé:
Apports insuffisants chez les sujets de 50 ans et +