Comment cela, contrarier le fonctionnement de certaines hormones?Le Dr Thierry Hertoghe conseille de faire tremper la nuit (8H) les céréales et pseudo-céréales, les oléagineux, dans une eau non chlorée, pas trop chargée en minéraux, afin de neutraliser les anti-nutriments (acide phytique) qui pourraient contrarier le fonctionnement ce certaines hormones, lorsqu'on en mange régulièrement.
Il conseille aussi de réhydrater les fruits secs.
Pour faciliter le broyage des oléagineux, les laisser sécher encore 8 à 16 heures naturellement
Alimentation et hormones
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Alimentation et hormones
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Re: Alimentation et hormones
- les céréales et pseudo-céréales peuvent occasionner un pic d'insuline (excès de glucides). Donc l'insuline.
- Ces céréales et les oléagineux contiennent de l'acide phytique. Les phytates perturbent.
À la marge, il y a des résidus de pesticides (céréales) qui sont bien connus pour être des perturbateurs endocriniens.
Les céréales non germées sont un des aliments les plus néfastes pour les hormones. Leur consommation induit non seulement une chute rapide de la sécrétion de plusieurs hormones - et non des moindres : cortisol, hormone de croissance, hormones sexuelles, DHEA, etc. - mais en plus ces aliments perturbent, une fois absorbés, les effets bénéfiques de nombreuses hormones.
Lorsque les céréales non germées réduisent le taux d’hormones surrénaliennes et sexuelles, cela a un impact sur notre vitalité.
Donnez la préférence aux aliments sains, frais, naturels et biologiques, et refusez tout ce qui est trop transformé, sucré et trop cuit, surtout si c’est dans la graisse (car souvent dénaturée). En outre, quand vous avez un doute, mettez-vous dans la peau d’un homme du paléolithique. Si vous choisissez des aliments bons pour votre santé, vous en serez récompensé dans les 24 h qui suivent par un regain d’énergie, une humeur plus enjouée et un corps plus détendu, conséquences d’une amélioration de vos taux hormonaux.
Source : Dr Thierry Hertoghe
Le régime hormones
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Re: Alimentation et hormones
Afin de retourner aux habitudes alimentaires saines du Paléolithique, il faudrait avant tout limiter la consommation de céréales à un maximum de deux fois par semaine. Privilégiez celles que vous pouvez faire germer de manière à inactiver les inhibiteurs enzymatiques qu’elles contiennent et induire la production de vitamines. Pour ceci, faites-les tremper dans de l’eau pendant une nuit puis amenez-les à une température de 20-30 °C (pas trop élevée). Si la germination des céréales rend les germes comestibles donc sains et propices à un bon équilibre hormonal, la cuisson à trop haute température, en empêchant la germination, maintient un degré de toxicité (persistance des inhibiteurs enzymatiques et de pesticides naturels). Aux températures de cuisson des pâtes ou du pain (100 °C ou plus) le métabolisme de la graine est bloqué et de nombreux nutriments sont détruits. Ceci va perturber la digestion et indirectement la production hormonale. Tout comme les céréales, les graines oléagineuses (graines de tournesol, noix, amandes...) doivent être mises à tremper dans l’eau avant d’être consommées.
Même source
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Re: Alimentation et hormones
Si vous avez un grand appétit, augmentez la quantité de protéines. Elles suppriment la faim, ce qui vous évitera de céder à la tentation de manger n’importe quoi. Prévoyez des protéines d’origine animale à chaque repas, de préférence au début (juste après le plat de crudité, ndlr), pour un apport journalier d’environ 160 g à 300 g. Les protéines, comme celles du jambon, sont excellentes dès le petit déjeuner, car elles contribuent à équilibrer la glycémie durant plusieurs heures. Les jambons cuits sont généralement sucrés et donc défavorables aux hormones. Préférez les jambons crus comme le jambon de Parme, le Ghanda et certains jambons Serrano. Privilégiez les jambons sans nitrates car ceux-ci peuvent mener à la formation de nitrosamines potentiellement cancérigènes et induire des nodules dans la glande thyroïde. En revanche, évitez au petit déjeuner le café sucré et les viennoiseries qui provoquent une augmentation soudaine du sucre dans le sang suivie, une demi-heure à deux heures plus tard, d’une chute soudaine de la glycémie qui poussera à prendre un autre café sucré et ainsi de suite.
: vérifiez bien les étiquettes car on utilise du sirop de blé (dextrose) et du gluten un peut partout.
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Re: Alimentation et hormones
Vous avez droit à deux journées libres par semaine. Utilisez-les quand vous ne parvenez pas à respecter le régime ou quand vous avez envie d’un de vos plats préférés. Si vous avez besoin de maigrir, accordez-vous seulement un jour de liberté.
Mise en garde : "Deux journées libres par semaine" signifie aller à l'encontre des directives données relatives notamment au pic d'insuline.
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Re: Alimentation et hormones
Notre lointain ancêtre ne buvait ni café ni boisson gazeuse. Supprimez par conséquent les boissons sucrées, appelées à tort limonades, orangeades, etc. Il s’agit de sucre liquide qui, s’il peut sembler anodin, contient du glucose ou fructose et, souvent, des édulcorants mais, malheureusement, pas les fibres utiles pour l’assimiler. Il en va de même pour l’alcool (de la bière aux alcools forts), qui agit dans l’organisme comme du sucre, et des jus de fruits industriels qui, à en juger par les étiquettes, renferment bien peu de fruits. Faites également attention au café qui augmente le taux d’insuline et de cortisol et, si vous ne pouvez pas vous en passer, remplacez-le par du décaféiné. Limitez le thé noir, car il est le plus riche de tous en théine (caféine). L’eau plate est la boisson idéale pour ce régime (1,5 à 2 litres par jour). Le thé vert est également recommandé (2 à 3 tasses, ndlr). Les fruits pressés au dernier moment, sans sucre ajouté, peuvent être consommés deux ou trois fois par semaine, en très petite quantité. En effet, ils provoquent un pic d’insuline, ce qui bloque la sécrétion de nombreuses hormones. (Mais si vous tenez compte de ce facteur [pic d'insuline], c'est acceptable. Privilégiez alors le moment opportun qui est la collation, ndlr).
Plus la glycémie est élevée et plus le taux d’hormones comme le cortisol, l’hormone de croissance ou les hormones sexuelles diminue (nous verrons plus loin quels sont les fruits à privilégier). Si vous prenez un jus de fruit, diluez-le avec de l’eau (trois à quatre volumes d’eau pour un de jus de fruit).
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Re: Alimentation et hormones
Consommez à chaque repas de bonnes graisses comme de l’huile d’olive (de préférence extra-vierge extraite à froid) ou du beurre clarifié. Elles contribuent à préserver l’intégrité des membranes cellulaires, permettent le bon fonctionnement du système hormonal, du système cardiovasculaire et du cerveau, et combattent les inflammations. L’idéal serait de varier les huiles de qualité (huile de colza, huile de sésame, de pépins de raisins, de noix, de lin, etc.) (huile crue pour l'assaisonnement, ndlr).
Note: Le matin, privilégiez les graisses saturées comme le beurre de coco ou le ghee (beurre clarifié) pour assister les glandes surrénales, ndlr.
Extrait:
LES BONNES GRAISSES POUR LES HORMONES
Vous avez besoin de suffisamment d'aliments riches en graisses saines saturées comme celles contenues dans le lard, le bacon, le jaune d'œuf, le beurre clarifié (ghee), la peau de poule, le foie, tous bio de préférence car c'est dans les graisses que les pesticides s'accumulent… Ces graisses permettent d'augmenter votre production d'hormones sexuelles comme la testostérone et les œstrogènes et surrénaliennes comme le cortisol et la DHEA. Votre corps nécessite aussi suffisamment de graisses insaturées surtout du type oméga-3 comme celles retrouvées dans les œufs de poules élevées en plein air et le poisson (thon, saumon, maquereau, etc.). Ce qu'il faut éviter, c'est de cuire ces aliments riches en graisses à haute température, sinon leurs graisses se transforment et deviennent toxiques (cancérigènes ou pro-cancérigènes) et irritantes pour l'intestin. Le lard peut par exemple être cuit dans le four à vapeur ou dans une poêle avec une couche d'eau au fond ce qui éviter de brûler ses graisses. La plupart des gens mangent trop de graisses toxiques cuites à haute température (chips, fritures, biscuits, etc.) et trop peu de graisses saines…
Source : Le régime hormone. Dr Thierry Hertoghe – Edition Thierry Souccar
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Re: Alimentation et hormones
Parmi les fruits, les baies, comme les fraises, les myrtilles ou les framboises, ont une faible teneur en sucre. Idem pour le pamplemousse ou le citron. Ces fruits n'occasionneront donc pas de pic d'insuline et ne dérangerront pas la sécrétion d'hormones surrénaliennes, comme le cortisol et la DHEA, ou les hormones sexuelles, comme la testotérone ou les estrogènes., contrairement à la banane, le raisin, la mangue, l'ananas ou les dattes, qui à forte dose peuvent interférer. Tout est évidement dans la dose.
http://www.mieux-etre.org/L-alimentatio ... notre.html" onclick="window.open(this.href);return false;
LES FRUITS SONT BONS POUR LA THYROÏDE
La consommation de fruits stimule la fonction thyroïdienne en accélérant grâce au fructose qu'ils contiennent la conversion de l'hormone thyroïdienne T4 en hormone thyroïdienne active T3. Cependant, consommez de préférence des fruits entiers ou mixés (contenant toutes les fibres qui libèrent lentement le sucre du fruit) au jus de fruit qui est trop concentré en sucre (libéré de ses fibres) et qui, après absorption trop rapide par le tube digestif, donne lieu à des pics élevés de sucre dans le sang qui vont inhiber pour de longues heures la sécrétion de nombreuses hormones importantes comme l'hormone de croissance, le cortisol, les hormones sexuelles, la DHEA, etc. Les jeunes enfants qui prennent un grand verre de jus de fruit grandissent ainsi moins bien (1 cm de moins par an !) : à deux ans ils ont deux centimètres de moins, à cinq ans, cinq centimètres par an, probablement par diminution de la sécrétion de l'hormone de croissance. Ceci ne devrait pas arriver avec la consommation de fruits entiers.
Source : Le régime hormone. Dr Thierry Hertoghe – Edition Thierry Souccar
Note: Consommez ces fruits le matin est le moment le plus opportun, comme source unique de glucides, à la place des céréales donc. De manière générale, si vous ne consommez que quelques fruits et légumes le matin, il n'y aura pas de problème ...
Le dernier moment opportun est la collation de 16H. Pas plus tard. Je dois encore approfondir ce sujet
- Laurette
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- Citation : Il faut toujours prévoir l'imprévu !
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Re: Alimentation et hormones
Même pas besoin de chercher !
(Cf le sujet du jour sur la salade quinoa châtaigne)
Merci notre bon Nestor ! On peut toujours compter sur toi, c'est formidable.
Tu fais un énorme travail pour l'appart'.
Et merci aussi Collucil d'avoir levé le lièvre !
http://www.jas-des-amouries.com
Plus ou moins fibro, plus ou moins pso, plus ou moins "on ne sait pas quoi "....depuis 2010. Mais qui va tellement mieux avec sa nouvelle alimentation ! Merci l'Appart' !
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Re: Alimentation et hormones
Si vous cuisez la viande, évitez de le faire régulièrement et au-delà de 85° C (four) .
Si c'est à la vapeur, jusque 100 ° C est acceptable.
Pour la viande cuite au four, une température de 85 °C est nécessaire pour éliminer tout parasite qui aurait pu échapper aux contrôles vétérinaires à l’abattoir. En outre, utilisez plutôt des ustensiles de cuisine en acier et évitez ceux en aluminium tout comme ceux qui sont antiadhésifs ou en émail si le revêtement protecteur est abîmé. De même, ne cuisez rien dans du papier aluminium.
Le conseil de recourir aux températures les plus basses vaut également lorsqu’il s’agit de réchauffer un plat (75°), d’autant que le cuire à une température plus élevée ne ferait qu’en dégrader le goût et les propriétés nutritionnelles. Par ailleurs, cuisinez des quantités équivalant à un ou deux repas au maximum afin de réduire le temps de conservation. Les légumes seront consommés le plus rapidement possible après leur achat pour limiter la déperdition de vitamines A et C provoquée par la flétrissure et la déshydratation. Conservez le beurre (ghee)au frigidaire et l’huile au frais et à l’abri de la lumière pour préserver les vitamines A et E.
Il va sans dire qu’il faut s’abstenir de paner ou frire la viande et le poisson. Leur cuisson demande trop de matières grasses (même s’il s’agit d’huile d’olive) qui se transforment à haute température en produits toxiques pour les hormones et les membranes cellulaires. L’organisme a en revanche besoin, pour produire des hormones stéroïdiennes comme les hormones sexuelles (progestérone, testostérone, œstradiol), de cholestérol trouvé, par exemple, dans le jaune d’œuf, le beurre clarifié ou le foie. Attention ! La cuisson peut le rendre toxique, il faut donc que la température soit la plus basse possible.
Préférer l’œuf à la coque plutôt que l’œuf dur. L’omelette ne devrait être cuite que très doucement à basse température dans des plats permettant une cuisson sans graisse. Évitez de faire brunir le dessous de l’omelette car ce serait le signe que la température de cuisson est trop élevée. À basse température, l’ajout au fond du plat d’une petite quantité de beurre non clarifié ou d’huile de coco est acceptable.
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Re: Alimentation et hormones
L’idéal serait de manger cinq soirs par semaine et de jeûner deux soirs. Le jeûne a un effet dépuratif et stimule la production du cortisol qui, chez les sujets jeunes, accélère la dégradation des graisses.
Quand on jeûne, il vaudrait mieux renoncer au thé et au café qui stimulent la faim. Jeûner le soir permet en outre au pancréas de se reposer. Si on ne veut pas jeûner, on peut aussi éviter les aliments qui stimulent trop le pancréas et provoquent un excès d’insuline comme les fruits, les fritures, les produits sucrés et l’alcool. L’idéal serait de lui permettre de se reposer et de solliciter uniquement (par un repas léger) l’estomac et les reins, chargés de nettoyer l’organisme. En règle générale, dînez légèrement. Vous éviterez une mauvaise digestion pendant la nuit, permettrez aux hormones de mieux accomplir leurs tâches et vous réveillerez de bonne humeur, sans haleine chargée, ventre ballonné ou mal de tête. Par ailleurs, vous avez droit à deux journées libres par semaine (dans le respect du régime SGSC, ndlr). Utilisez-les quand vous ne parvenez pas à respecter le régime ou quand vous avez envie d’un de vos plats préférés. Si vous avez besoin de maigrir, accordez-vous un seul jour de liberté. Faites chaque jour 30 à 40 minutes d’activité physique et, surtout, buvez suffisamment (1,5 à 2 litres d’eau plate et/ou de tisane).
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Re: Alimentation et hormones
Le stress, en plus d’augmenter les risques de maladies cardiovasculaires et de cancer, peut fortement perturber l’équilibre hormonal. Comment lutter contre ce fléau des temps modernes ? Commencez par éviter les excitants (café, thé, surtout si vous aviez l’habitude d’en boire de grandes quantités). Ensuite, dormez suffisamment et dans de bonnes conditions. Si ça ne suffit pas, pensez à pratiquer une activité physique douce (marche à pied, vélo, yoga, relaxation, taï chi, qi gong, sophrologie...), l’idéal serait d’en faire 30 à 40 minutes par jour. Pensez également à la méditation qui augmente le taux de DHEA et de testostérone et optimise celui de cortisol et de mélatonine. Dans tous les cas, au lieu de vous énerver lors d’une situation stressante, tentez de transformer l’énergie de l’énervement en action positive. Par exemple, au lieu de vous braquer sur le désordre, mettez votre chambre ou votre bureau en ordre. Plus généralement, n’attendez pas pour régler les problèmes qui vous minent... et pensez à faire des pauses de temps en temps !
Source : Dr Hertoghe
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