Un petit mot pour vous dire (j'ose à peine, peur de me réjouir trop, ou trop tôt) : je suis en rémission actuellement, presque entièrement, de mon pso ............. j'ai juste encore quelques cicatrices de grattage. Je n'y crois pas moi-même. On verra la suite.
Mon parcours a été un peu cahotique; par désespoir, je me suis lancée dans des tas de trucs : régime, compléments, détox foie, huiles essentielles, crèmes cortisone (j'ai tenu bon quand-même : pas de PUVA malgré l'insistance de mes deux dermatologues), EFT, pensée positive, groupe de parole, hypnose, ressourcement à L'Appart.
Peut-être tout ceci mélangé a-t-il eu un impact global; je n'en sais rien mais, à l'analyse, deux choses me viennent spontanément :
Régime : je fais encore des erreurs, voulues ou non, mais mon esprit fonctionne maintenant presque automatiquement en SGSL, sans chercher à remplacer l'ancien à tout prix par des compensations SGSL;
Hypnose : je n'ai fait que 5 séances car, financièrement, c'était lourd et je pensais perdre mon temps et mon argent car on n'a pas abordé le pso en confrontation directe comme je l'avais imaginé/souhaité; moi, je voulais connaître la ou les causes; le psy, lui, estimait que ce n'était pas nécessaire. Vu l'aspect financier, il m'a proposé la dernière séance pour me donner des éléments de pratique en auto-hypnose et il a, aussi, sous hypnose, ciblé l'aspect "ne plus accorder aucune importance à la maladie, la laisser aller et venir à son gré, faire la paix avec elle".
Ce dernier point a bien fonctionné car j'ai fait une poussée il y a trois semaines environ : j'ai constaté, puis "oublié".
Peut-être l'EFT aurait-elle pu remplir ce rôle, et à moindre coût, mais, à ce moment-là, je ressentais le besoin d'être "prise en mains". Je ne crie pas "victoire" définitivement et c'est là que l'EFT va m'aider à être plus confiante, n'est-ce pas, Pierrette
Voilà ce que j'avais envie de partager.
