Bonjour à tous! Désolé c'est un peu long:)
Je suis touché en lisant vos messages, et bien content que le sujet ait repris. Je suis maintenant expert en mes addictions
, pour ceux qui ne sont pas tombé sur ma présentation, je suis Spartacus face à Rome (Rome représentant mes addictions, et sans le côté "Spartacus meurt à la fin!"). Je m'étonne un peu sur ce coup mais pas tant que ça... j'ai eu le sentiment que c'était le moment, pour chacune d'entre elles, c'est assez étrange. Le cannabis, puis le sucre, passage à Seignalet et enfin il y a une semaine la cigarette. Je ne pensais pas enchainé mais ça s'est presque fait naturellement.
Vous oubliez une chose que je trouve essentiel dans l'arrêt du tabac : les sens! Notamment le goût et l'odorat.
Il est important de signaler que retrouver (récupérer) ces sens amène une grande satisfaction, voir motivation pour certains. Couplé à une envie profonde de vivre, je rêve désormais d'une nouvelle vie, comme une métamorphose, mais en gardant mes (nos) valeurs profondes.
Désolé Flosh je répondrais plus tard à l'autre post mais vois ça comme un début : je pense que les gens me voient aller vers un extrême, et ma famille à pas mal de doutes, mais ce sentiment de vouloir vivre à expulsé beaucoup du "Mal" accumulé durant de nombreuses années, et ça me pousse à vouloir une vie plus simple, la télévision est la 1ère source de malêtre, je l'ai vendue...et oui à force de voir tout et n'importe quoi, la plupart des gens finissent par croire détenir la vérité et se fermer à la vraie vie. A la base c'était pour lâcher les programmes im(pro)posés mais chez moi ça veut aussi dire plus de console ni de home cinéma...sachant que je fumais mes pétards en jouant sur la télé et le home cinéma:)
Je vais pas écrire un roman non plus mais cette idée de revenir aux choses simples de la vie m'aide beaucoup.
L'arrêt de la cigarette me perturbe surtout le soir après mangé, dans ma solitude. Car passer une journée seul, pour se retrouver seul, c'est bien ça au final qui est le plus dur pour moi car maintenant que je vais mieux sur tout les plans, j'ai envie de parler avec les gens et de sortir de ce cycle infernal. "Le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé" ou presque, par Alexander Supertramp:) dans le film Into the wild.
Sur ce point, merci l'Appart, que j'apprécie pour son humanité.
Bisous les coloc,
Flo