Le Régime IG Minceur

[anonyme12]

Dernier message de la page précédente :

Les « régimenteurs »
Le surpoids est un problème complexe. Le traiter n’est pas simple.
Outre les phénomènes strictement physiologiques à prendre en considération, il faut aussi compter avec le mental de la personne, un mental souvent fragile. « Et les marchands de régimes jouent sur ces failles, estime la psychanalyste Catherine Grangeard. Plus la sécurité intérieure d’un individu est fragile, plus la recherche de forces de l’ordre à l’extérieur est importante.
"Tomber sous le charme d’un « régi-menteur » est dès lors d’autant plus facile. En quête de repères, l’individu fragilisé va suivre tel ou tel gourou, se plier à ses règles. « Cela donne l’illusion qu’il suffit de s’en remettre à ses prescriptions pour atteindre un objectif, d’aller mieux. Erreur ! Les vendeurs de régimes exploitent la marchandisation de la personne humaine. On n’est plus dans un commerce qui répond par des biens et des services à un besoin. On se trouve ici dans un tout autre contexte, celui de l’exploitation de la vulnérabilité…"

[anonyme12]

Les régimes sont inutiles
02. Étude Nutrinet sur les régimes hypocaloriques
58 %
L’étude française Nutrinet montre que 70 % des femmes désirent peser moins.
Un chiffre qui est encore de 58% chez les femmes affichant pourtant un poids normal!

95 %
Efficaces les régimes ?
Dans 95% des cas, les personnes qui font un régime reprennent le poids perdu, voire plus. C’est la porte ouverte à la spirale yo-yo.

7.000
L’équation est simple.
Pour perdre du poids, il faut avaler moins de calories que ce que notre organisme consomme.
Mais il ne s'agit pas tant de diminuer le nombre total de calories que de rééquilibrer et modifier certains excès. Certains régimeurs affament littéralement le corps sous prétexte que 1 kg de masse graisseuse, cela fait 7.000 K/calories. Ils risquent un méchant retour de manivelle …

Mais pourquoi cette obsession ?
Qu’est-ce qui pousse les femmes (et les hommes) a soudain vouloir perdre du poids et à entamer un régime ? Avec 95 %d’échec, ces initiatives ont pourtant tout pour déprimer les plus optimistes, non ?
« Nous vivons dans une société de l’apparence, du culte du corps. Une société qui idéalise la minceur, explique le Bernard Waysfeld, médecin nutritionniste et psychiatre à Paris. Cela explique pourquoi les régimes sont majoritairement pratiqués par les femmes.

Elles sont victimes de ce culte. Elles perdent aussi certains repères malgré la conquête féministe et sont victimes d’un certain terrorisme alimentaire. » Le diagnostic est limpide. Le médecin nous le détaille.
Le culte de la minceur ? « On oublie un peu vite qu’il y a plus de trois milliards de femmes sur Terre pour seulement une poignée de top modèles. Bien sûr, dans notre société postmoderne, la minceur est associée à la réussite, à la désirabilité. Il n’y a qu’à regarder certains responsables politiques, dit-il en projetant une image du svelte président François Hollande et une autre du même, alors plus enrobé, bien avant la campagne électorale. Elle rend sympathique. C’est oublier un peu vite qu’il n’en a pas toujours été ainsi. Les rondeurs ont souvent été le canon féminin, synonymes de fécondité. »
La conquête féministe ? « Le port du pantalon a joué un rôle dans le culte de la minceur », estime le médecin.
« L’effet “taille” du jean moulant joue en plein. Quitte à passer par des phases de restriction alimentaires mais aussi cognitives, lesquelles entraînent des troubles qui débouchent sur des régimes yoyo, préludes aux boulimies et à l’obésité. »

Et le terrorisme alimentaire ? « De nouveaux régimes apparaissent tous les cinq ans, rappelle-t-il. Atkins, chrononutrition, californien, Montignac, Dunkan… Autant de modes qui s’effondrent devant les inévitables effets yoyo qu’ils engendrent (28 % des femmes et 14 % des hommes ont déjà suivi plus de 5 régimes !). Tout simplement parce que ces régimes ne s’intéressent qu’à un type de symptôme : le poids. On oublie l’individu dans son entièreté. »
« Et puis il se double de ce manichéisme rampant stipulant que les légumes sont bons, les gâteaux sont mauvais, tout en oubliant de rappeler que c’est la dose qui fait le poison et que l’aliment ne peut pas être indéfiniment coupé de sa convivialité. »

Et les hommes ? Selon les données de l’étude Nutrinet, qui portent sur quelque 200.000 personnes dans toute la France, il ressort qu’un homme sur deux aussi serait soucieux de son tour de taille.
« Mais les hommes ne font jamais régime, bien sûr ! Ils font plutôt “attention”. C’est une question de vocabulaire », explique Estelle Masson, sociologue de l’Université de Bretagne occidentale, à Brest.
« Pour soigner leur apparence physique, ils comptent d’abord sur des activités physiques plutôt que sur des restrictions alimentaires. Même s’ils se privent (très) temporairement aussi de certains aliments, comme la bière ou le chocolat. Et si cela s’apparente à un régime, ils n’en parlent pas. C’est trop coquet à leurs yeux. » ■

[anonyme12]

03. La « bonne bouffe attitude » est-elle un mythe ?
ENTRETIEN
Le Dr Lecerf dirige le Service Nutrition à l’Institut Pasteur de Lille. Il est endocrinologue et nutritionniste.

Pourquoi la plupart des régimes amaigrissants se soldent-ils par un échec ?
Parce qu’ils sont inappropriés, excessivement restrictifs, difficiles à tenir sur le long terme. Le risque avec un échec, c’est qu’on recommence un nouveau régime, plus strict, plus difficile. Et on ne pourra pas le tenir davantage parce que c’est encore plus dur sur les plans physiologique, psychologique, relationnel, comportemental…

Le poids idéal existe-t-il ?
Les candidat(e)s au régime s’imaginent que tout irait mieux s’ils ou elles avaient quelques kilos en moins. Ce qui ne veut pas dire qu’avoir beaucoup de kilos en trop est bon pour la santé ! Mais il y a un divorce entre ce que montrent les études scientifiques récentes et les messages diffusés par les magazines ou même certains médecins. Non, nous ne devons pas tous avoir le même poids.
Nous ne devons pas tous entrer dans un même moule. Pour une femme moyennement âgée de 65 à 70 ans, il est plutôt souhaitable d’être légèrement enrobée. Pour un homme de 50 ans qui souffre d’un excès de poids, s’il est stable et qu’il présente une belle masse maigre et une bonne activité physique sans autres problèmes de santé, il n’est pas dangereux de rester à ce niveau-là. L’important, c’est de ne pas prendre du poids.

L’indice de masse corporel (IMC) est-il un bon indicateur ?
Il faut certainement arrêter de se focaliser sur les statistiques. C’est donc un chiffre adapté à des populations, pas à des individus. Parce que les individus peuvent être différents selon leur morphologie, leur âge, leur sexe, leurs activités physiques, leur composition corporelle, etc. Ils ne peuvent pas se résumer à un seul chiffre. Le risque pour la santé est ailleurs : il faut plutôt moduler selon d’autres facteurs : la localisation de la prise de poids (le haut du corps ? le bas du corps ? à la taille ?), l’importance de la masse maigre dans l’organisme, les muscles, l’activité physique, les capacités physiques… Le poids idéal universel n’existe pas.

Faut-il repenser notre alimentation?
L’alimentation perd un peu de son sens dans notre société. Elle vise bien sûr à nous nourrir, mais aussi à nous réunir, à nous réjouir. Il faut trouver un bon équilibre entre ces trois fonctions. Le repas partagé crée des liens sociaux indispensables ; il est aussi un des régulateurs de la prise alimentaire.
■ Propos recueillis par CHRISTIANDU BRULLE
Journal Lesoir 23/06/2012

[anonyme12]

Nutriments à surveiller en prévention du diabète:

Diabète & nutriments. Gabriel Cousens

"J'ai observé beaucoup de carences en magnésium dans mon expérience clinique, et on en constate chez environ 90 % des diabétiques. L'insulinorésistance est aussi associée à l'hypertension. Des travaux expérimentaux menés sur les carences en magnésium ont montré que prendre du magnésium réduit la sensibilité des tissus à l'insuline. Si le régime alimentaire est carencé en potassium, il peut aussi conduire à l'insulinorésistance au niveau des post-récepteurs.171 Le zinc et le chrome jouent un rôle dans la réduction de l'insulinorésistance, tout comme le vanadium. La biotine (B8) semble réduire l'insulinorésistance selon les recherches.172
La vitamine E tient un rôle. Environ 600 mg suffisent à faire la différence en matière d'insulinorésistance.

La taurine et le glutathion semblent tous deux réduire l'insulinorésistance. Le coenzyme Q10 (Co-Q10), qui semble assez bon pour ça, améliore aussi la glycémie, la tension artérielle et l'assimilation de vitamines C et E et de bêta-carotènes. L'acide alpha-lipoïque est très bon pour améliorer l'insulinorésistance (sensibilité). Les fibres améliorent l'insulinorésistance, alors que les graisses saturées la font empirer. Les légumes favorisent la diminution du taux d'insuline à jeun.
Le stress joue aussi un rôle au niveau de l'insulinorésistance. Un stress aigu semble clairement associé à une forme sévère, bien que réversible, d'insulinorésistance.173 Nous devrions prêter attention au stress et à son traitement.174 Une étude de Nelson a montré que le stress psychologique joue un rôle dans la hausse chronique de cortisol, qui fait augmenter les niveaux d'insuline plasmatique. Une hormone appelée leptine est sécrétée par les tissus adipeux. Des niveaux élevés de leptine semblent agir sur l'hypothalamus pour réduire les graisses de l'organisme. Mais si le pourcentage de graisses augmente, même des niveaux élevés de leptine sont incapables de stimuler les processus métaboliques. L'obésité est donc liée à une résistance à la leptine.175 La résistance à la leptine décroit dès qu'une personne devient plus sensible à l'insuline.

En résumé, les facteurs pouvant contribuer à l'insulinorésistance et donc au diabète sont un régime alimentaire riche en graisses; un régime alimentaire pauvre en protéines; une carence en acides gras oméga-3 et oméga-6 ; un régime riche en glucides simples; des repas très glycémiques avec des sucres raffinés et des amidons; le stress; une faible consommation de fibres; une carence en calcium, magnésium, chrome, vanadium, potassium et zinc; une carence en caroténoïdes ; une faible consommation de légumes; le manque d'exercice; regarder la télévision, et la nicotine."

Source : Gabriel Cousens. "Soignez son diabète en 21 jours". P 145-146. Editions Macro.

Commentaires de Nestor:
Ne prenez pas des suppléments de chrome (ou de vanadium) car il devient vite toxique en excès (ML). Prenez-les via l'alimentation.
Surveillez les apports de Zn et surtout le Mg. Un régime riche en fibres (fruits et légumes), pourvu adéquatement en viande maigre (poisson et volaille) seront une bonne base. J'y ajouterais encore le beurre de coco (une càs) pour l'acide caprylique.
Ne négligez pas l'exercice physique car 30' de marche à un rythme élevé vous permettront de vous passer de votre nicotine (même effet sur le cerveau), sans parler des autres avantages, ainsi que les produits toxiques évités

Références:
171 Norbiato, G, Bevilacqua, M, Meroni, R, et al, « Effects of potassium sup¬plementation on insulin binding and insulin action in human obesity: Protein modified fast and refeeding ", Eur J Clin Invest, 1984, 14, 414-419.
172 Reddi, A, DeAngelis, B, Frank, 0, et al, « Biotin supplementation impro¬ves glucose and insulin tolerances in genetically diabetic KK mice ", Life
Sci, 1988, 42, 1 323-1 330.
173 Brandi, I. S, Santoro, D, Natali, A, et al., « Insulin resistance of stress: Sites and mechanisms », Clin Sci (Colch), 1993, 85, 525-535.
174 Nilsson, P M, Moller, L, et Solstad, K, « Adverse effects of psychosocial stress on gonadal function and insulin levels in middle-aged males », J
Intern Med, 1995, 237, 479-486.
175 Hamann, A, et Matthaei, S, « Regulation of energy balance by leptin », Exp Clin Endocrinol Diabetes, 1996, 104, 293-300.

[anonyme12]

Une petite cure de chlorophylle vous fera également un grand bien ...
Vous avez la version jus d'herbe de blé pour les diabétiques ou la version green smoothie en prévention du diabète de type 2.

Poire mangue & mâche smoothie.jpg (68.76 Kio) Vu 1566 fois

Voici une molécule de chlorophylle et de "sang".

Blé Herbe Wheatgrass.gif (7.93 Kio) Vu 1566 fois

=> Observez la similitude. Identique à une molécule près : Magnésium / fer.
Rien ne prouve que l'organisme puisse intégrer le fer à la place du Mg, mais sur des personnes anémiées, cela marche !
L’organisme déficient se supplémente plus facilement ...

[Pierre C.]

Par l'odeur alléché, le chimiste rapplique et... se demande bien d'où viennent ces représentations moléculaires.
Mais il a sa petite idée. Peut-être d'un site prônant le végétarisme ?

Oui les molécules de chlorophylle et d'hème ont des ressemblances frappantes, mais ce ne sont pas les mêmes.
Pour jouer au jeu des différences :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Heme" onclick="window.open(this.href);return false;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Chlorophylle" onclick="window.open(this.href);return false;

Contre l'anémie, on n'a encore rien fait de mieux que la viande. Encore un exemple proche : ma soeur a été végétarienne. Puis problème d'anémie, fatigue. Elle se remet à manger de la viande -> anémie disparue, énergie à revendre.

[anonyme12]

Contre l'anémie, on n'a encore rien fait de mieux que la viande.

=> on ne se place pas à ce niveau mais au niveau de la sécrétion d'insuline.
Tu n'as pas besoin d'essayer de me convaincre : je ne prône pas le régime végétarien. Néanmoins, en cas de jeûne ou d'insuffisance de sécrétion d'insuline (épuisement dû à une sensibilité amoindrie des cellules bêta), la chlorophylle a démontré son efficacité dans la gestion de la glycémie.
Voici une autre source qui ne sera pas taxée pro-végé et qui montre une forte similitude:

Chlorophylle carotte.jpg (15.74 Kio) Vu 1562 fois

=> le noyau central de la molécule (carotène) est un atome de Mg, entouré par une molécule d'azote (N), comme dans l'illustration précédente.
Je concède bien volontiers que les végés ont tendance à exagérer. Pas les pro-carnis ?

[ramaflore]

Nestor,

Il faut aussi tenir compte si l'aliment est cru, cuit, le type de cuisson, car la charge glycémique peut varier je crois. Une tomate crue, une tomate au four, une tomate cuite dans de l'h.d'olive peut avoir des charges glycémiques variées.

J'ai cherché en vain un tableau avec les indices d'insulinique. Est-ce que tu as quelque chose à ce sujet, Nestor ?

En lisant sur le web, j'ai lu que les bananes auraient un indice insulinique de 81 ce qui est fort élévé, alors que d'après ce que tu disais, les bananes ont une charge glycémique faible. Quel serait l'indice à tenir en compte dans ce cas-ci ? la charge glycémique ou l'indice insulinique ?

[anonyme12]

Il faut aussi tenir compte si l'aliment est cru, cuit, le type de cuisson, car la charge glycémique peut varier je crois. Une tomate crue, une tomate au four, une tomate cuite dans de l'h.d'olive peut avoir des charges glycémiques variées.

=> oui, mais on va simplifier, car il y a aussi des exceptions : du pain congelé ou grillé verra son IG améliorer légèrement.
Les fibres et les MG améliorent aussi la charge glycémique du repas. Idem si vous commencez le repas par une petite vinaigrette (ou citron).

J'ai cherché en vain un tableau avec les indices d'insulinique (II). Est-ce que tu as quelque chose à ce sujet, Nestor ?

=> on part du principe que l'IG est le même que l'II, sauf mention contraire. Par exemple les laitages.

Jeannette C. Brand Miller a publié un tableau pour qques aliments avec IG et II mais cela n'est pas transposable.

Insulin index study: we measured glycemic scores and insulin scores for 1000 kJ portions of foods. They are not GI values. 1.000 Kj = 239 K/cal.
=> Je répète: Ces valeurs ne sont pas des valeurs IG transposables. Elles sont comparables entre elles, c’est tout. Pas comparable avec le tableau de Michel Montignac, par exemple.

NB: In a healthy person that has fasted (jeûné) for more than 10-12 hours overnight, cheese and steak can cause a small rise in blood glucose in the second hour of our 2 hour test periods due to gluconeogenesis. Also the normal fluctuations in blood glucose around the fasting value that our experiments start from produce some area above the fasting blood glucose level, which is used to calculate both GI and glycemic score values."

Nourriture Glycemic Score Insulin Score
Céréales petit déjeuner
All-Bran 40 32
Porridge (avoine) 60 40
Muesli 60 40
Special K 70 66
Honeysmacks 60 67
Sustain (marque) 66 71
Cornflakes 76 75

CARBOHYDRATE
Pâtes blanches 46 40
Pâtes complètes 68 40
Pain de seigle 60 56
Riz complet 104 62
Frites 71 74
Riz blanc 110 79
Pain complet 97 96
Pain blanc 100 100
Pommes de terre 141 121

PROTEINE
oeufs 42 31
fromage 55 45
Boeuf 21 51
Lentilles 62 58
Poisson 28 59
Fèves cuisinées 114 120

FRUIT
Pomme 50 59
Orange 39 60
Banane 79 81
Raisin 74 82

SNACKS
Peanuts 12 20
Popcorn 62 54
chips 52 61
Crème glacée 70 89
Yogourt / Yaourt 62 115
Mars bar 79 112
Jellybeans (gomme) 118 160

Pâtisserie
Beignet 63 74
Croissant 74 79
Cake 56 82
Cracker 118 87
Cookie 74 92

[ramaflore]

Et pour le cas des bananes, que me réponds-tu ?

En fait le tableau des indices insuliniques est celui que j'avais visionné, je le trouvais exhaustif, mais tu viens de répondre en disant que IG= II sauf pour les laitages.

Y-a-t'il d'autres exceptions ?

[anonyme12]

Et pour le cas des bananes, que me réponds-tu ?

=> La banane est dans le tableau. Transposez, cela donne

Selon J. Brand-Miller:
Banane IG 79 – II 81 pour une "portion" de 1.000 Kj ou 239 K/cal. Avec ça on ne sait rien faire, sinon comparer avec un autre aliment du tableau, comme déjà précisé

Selon Canada Santé une banane épluchée fait 118 g - 105 k/cal. - 439Kj.
14 g de glucides pour la portion de 118 g => 11.86 g de G par 100 g.

IG banane mûre 60 selon Montignac
12 g de glucide

CG de la banane pour 100 g: 7.2
60 x 12 / 100 = 7.2

CG de la banane entière 118 g: 8.5
7.2 x 1.18 = 8.5

Selon d'autres sources : la CG de la banane peut fluctuer entre 11 et 14 selon le poids.
Si 150 g => CG 10.8 (selon les mêmes bases que Montignac)

Nestor considère que la petite banane bio qu'il mange fait 120 g et a une CG de 12, mesuré au pif, breveté mais non estampillé

[anonyme12]

Y a-t'il d'autres exceptions ?

sam8313.gif (1.29 Kio) Vu 1561 fois

=> et le tableau que je t'ai donné (Brand-Miller), il faut aussi que je le commente !?
Sachant que ce sont des moyennes, que chaque individu est unique, que ta pompe ne fonctionne pas nécessairement comme la mienne, etc, l’index insulinémique (II) ne doit pas être pris à la lettre mais comme une tendance ...

[anonyme12]

IG des différents types de lait

IG des différents types de lait (Laits végétaux IG Michel Montignac)
Lait d’amande : 20 à 30
Lait d’avoine (non cuite) : 30 (sinon 40) (déconseillé dans le régime SGSC)
Lait de quinoa : 40 ( ?)
Lait de riz : 85
Lait de soja : 30 (ne pas en abuser : inhibiteurs, etc)
Lait de coco : 40

NB: Lait de vache : 27 à 32 selon qu’il est entier ou écrémé (mais Index insulinémique 70 !!! pour le lait de vache). Déconseillé dans le régime Seignalet (SGSC).

[ramaflore]

D'accord, sur le fait que chaque individu fonctionne différemment et que le métabolisme d'une personne n'est pas identique à celui d'une autre, c'est une évidence oui.

"=> et le tableau que je t'ai donné (Brand-Miller), il faut aussi que je le commente !?" Non, merci...lol A mon avis, mes cellules grises commençaient à griller...
J'ai lu l'entièreté de ton post aujourd'hui, sauf la page 1 que j'avais lu hier.

Y a-t'il d'autres exceptions ?

sam8313.gif

=> et le tableau que je t'ai donné (Brand-Miller), il faut aussi que je le commente !?
Sachant que ce sont des moyennes, que chaque individu est unique, que ta pompe ne fonctionne pas nécessairement comme la mienne, etc, l’index insulinémique (II) ne doit pas être pris à la lettre mais comme une tendance ...

[anonyme12]

Les antioxydants pourraient faire maigrir de la taille
• Une alimentation riche en antioxydants pourrait protéger du syndrome métabolique.
• Et faire maigrir de la taille.
Source : lanutrition.fr Jacques Robert - Jeudi 02 Août 2012
http://www.lanutrition.fr/les-news/les- ... aille.html" onclick="window.open(this.href);return false;

L'impact total des antioxydants alimentaires sur notre santé est encore mal connu. Des chercheurs Iraniens ont donc suivi près de 2000 adultes âgés de 19 à 70 ans (40 ans en moyenne) pendant 3 ans dans le but de déterminer le lien entre l'apport alimentaire d'antioxydants et le risque de développer des maladies métaboliques (hypertension, surpoids).
Tout au long de l'étude les participants ont donc rempli des questionnaires alimentaires et leur état de santé a été précisément noté, en particulier en ce qui concerne les critères du syndrome métabolique (résistance à l'insuline, taux de cholestérol élevé, hypertension artérielle, obésité abdominale). L'apport alimentaire en antioxydants a été estimé à l'aide d'une mesure appelée "capacité antioxydante totale" (TAC), estimée comme la plus fiable actuellement.

Résultat : dès le début de l'étude ceux qui ont un apport TAC élevé ont moins de graisses abdominales et moins de syndrome métabolique. Ce groupe est également celui qui a gagné le moins de graisses au niveau abdominal pendant les 3 années suivantes. Plus surprenant, les personnes qui ont augmenté leur valeur de TAC au cours de ces trois années ont diminué leur risque d'obésité abdominale de 38%. Ces résultats obtenus par les chercheurs ne varient pas en tenant compte de facteurs potentiellement perturbateurs tels que l'apport calorique total, l'apport en fibres, le tabagisme, l'activité physique, l'IMC ou les différences de proportions entre les apports en protéines, glucides et lipides dans l'alimentation.
Des résultats qui suggèrent fortement que les antioxydants de l'alimentation seraient bons pour la ligne et la santé et qui confortent des recherches précédentes qui étaient parvenues à la même conclusion (2).
Parmi les aliments ayant la valeur TAC la plus élevée on trouve les haricots rouges, les artichauts, les myrtilles, les fraises ou les framboises. Retrouvez d'autres aliments antioxydants dans notre grand comparateur d'aliments.

Référence
Zahra Bahadoran, Mahdieh Golzarand, Parvin Mirmiran, Niloofar Shiva, Fereidoun Azizi. Dietary total antioxidant capacity and the occurrence of metabolic syndrome and its components after a 3-year follow-up in adults: Tehran Lipid and Glucose Study. Nutrition & Metabolism 2012, 9:70. doi:10.1186/1743-7075-9-70.
(2) Hermsdorff HH, Puchau B, Volp AC, Barbosa KB, Bressan J, Zulet MÁ, Martínez JA. Dietary total antioxidant capacity is inversely related to central adiposity as well as to metabolic and oxidative stress markers in healthy young adults. Nutr Metab (Lond). 2011 Aug 22;8:59.

[anonyme12]

Certaines infos sont un peu disséminées dans plusieurs posts. je vais en rapatrier qques unes car elles sont en lien avec la glycémie

Voici un article intéressant, sur la prévention du diabète de type II:

Nutriments utiles pour le diabète

Un régime au 3/4 végétarien fera baisser le HbA1c et probablement le surpoids. Mais il faut faire ça intelligemment afin d'éviter les frustrations et le yoyo ensuite ...
On pourra envisager de passer à une crème budwig (adaptée) le matin et un repas paléo à midi. ce sera déjà 2 repas sur 3 qui éviteront la frustration ...

Vocabulaire : HbA1c est l'abréviation conventionnelle pour la mesure de l'hémoglobine glyquée (ou glycosylée). Ce taux doit être inférieur à 6 (pas 7 ou 7.5 comme parfois mentionné). Il donne une indication plus fiable sur une période étendue, soit 3 semaines. L'hémoglobine ayant une durée de vie de 3 semaines, le taux d'hémoglobine glyquée reflète donc le taux global de glucose dans le sang sur une longue période. Au final, le dosage de l'HbA1c permet de connaître l'équilibre glycémique d'une personne durant les trois semaines précédentes. Test à renouveler si nécessaire 6 mois plus tard, après correction du régime et introduction des compléments, si jugé opportun, sous la supervision d'un thérapeute de préférence.

*) nutriments utiles pour le diabète:

NAC
Vit E (100 UI) (mélange de tocophérols naturels)
Vit C 1 g
Vit D (surtout pour le type 1) (4 à 5000 UI par jour de mi-octobre à mi- avril)

+ surveiller les apports de magnésium (400 mg) (avec un fixateur pour le garder à l'intérieur de la cellule), de w3, de zinc (12 à 15 mg), de vanadium et de chrome, de manganèse, ces 5 derniers via l'alimentation.
J'y ajouterais encore le sélénium sur levure (200 mcg, ponctuellement 400 mcg).

*) prévention glycation : acide alpha-lipoïque.

*) Prévention vue: lutéine + les flavonoïdes en général, à petites doses, dont la quercétine qui neutralise les excès de sorbitol

*) épices utiles :
curcuma ( + pipérine)
fenugrec (5 g de graines)
cannelle (maxi 5 g)
persil (reins)

*) Rappel : exercice 30' par jour.

*) La gestion du stress est également très importante (cortisol => insuline). Un vieil adage dit que "Vous allez faire du mauvais gras si vous stressez". C'est parce qu'il y a surexcitation des glandes surrénales, ce qui sollicite un apport extra de glucose.
La pratique de la sophrologie ou de l'EFT vous sera d'une aide inestimable, dans ce cas
Note : Les effets du cortisol dans le corps se prolongent pendant des heures, parfois sur plusieurs jours, et cela influe sur le système immunitaire, l'inflammation et une augmentation en glucose dans le sang. Autrefois, quand les gens avaient survécu, après la chasse, ou quand ils étaient impliqués dans le combat, le cortisol élevé permettait à une personne d'ignorer la douleur et la maladie afin de se concentrer sur la tâche en cours. Cela fournissait également un apport excessif de glucose dans le sang, procurant un apport d'énergie additionnelle pour le cerveau et les muscles dans des situations extrêmes.

*) Évitez le soja et les perturbateurs endocriniens (glutamate, aspartame).

*) Surveillez la conversion des acides gras essentiels (enzymes et nutriments utiles):
=> rapport favorable w6 / w3 de 2/1.
Je prendrais une cuillerée à thé de graines de lin moule fraîchement pour l'apport de lignine.
+ 1 gélule de GLA (500 mg) un jour sur trois.

*) Une alimentation alcaline facilitera l'homéostasie (pH 8.5)
Nestor